The Soul of a man
Inclus
le Livret de 40 pages
Wim Wenders, Martin Scorsese
| Contenu : |
Le documentaire - Le chapitrage par chansons - La bande-annonce - Les biographies et filmographies - Les commentaires audio - L'interview de Wim Wenders - Les 6 scènes musicales coupées |
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L'avis de la Fnac
À l’initiative de Martin
Scorsese, sept réalisateurs mélomanes se sont réunis
pour raconter l’histoire du blues. Cette
collection de sept films permettra à un nouveau public
de découvrir le blues, d’en apprécier le génie, d’en
saisir l’origine et d’en comprendre les liens
avec la musique qu’il écoute.
En réalisant The Soul of a Man, Wim Wenders a
choisi de rendre hommage à trois des plus grandes légendes
du blues, mal connues du grand public : Blind Willie
Johnson, Skip James et J. B. Lenoir. Tandis que
Lawrence Fishburne joue les narrateurs, le cinéaste de Buena
Vista Social Club met en scène l’histoire de
ces trois pionniers du genre qui débutèrent dans les
années 20 (Wim Wenders a filmé toutes les séquences
de cette période avec une caméra d’époque). Mélange
poétique de séquences documentaires, d’images d’archives
et de fiction, The Soul of a Man égrène plus de
30 chansons interprétées par les artistes originaux ou
des musiciens contemporains tels Lou Reed, Nick Cave ou
Beck.
Interactivité : 5/5
Un très bon commentaire audio sous-titré de Wim
Wenders, qui évoque également l’essence du blues
dans une autre interview intéressante. On apprécie
particulièrement l’accès direct aux 33 chansons du
film. Un livret collector de 40 pages rédigé par Gérard
Herzhaft, auteur de La Grande Encyclopédie du blues,
est également inclus dans cette édition.
Image et son : 5/5
Piano Blues
Inclus le Livret de 40 pages
Clint Eastwood, Martin Scorsese
| Contenu : |
Le documentaire - Le chapitrage par chansons - La bande-annonce - Les biographies et filmographies - L'histoire du Blues |
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L'avis de la Fnac
À l’initiative de Martin
Scorsese, sept réalisateurs mélomanes se sont réunis
pour raconter l’histoire du blues. Cette
collection de sept films permettra à un nouveau public
de découvrir le blues, d’en apprécier le génie, d’en
saisir l’origine et d’en comprendre les liens
avec la musique qu’il écoute.
Amateur éclairé, grand amoureux de jazz (il a réalisé
Bird, sur la vie de Charlie Parker), et lui-même
pianiste amateur (il a signé la musique de plusieurs de
ses films), Clint Eastwood a choisi de consacrer son
documentaire aux plus grands pianistes du blues. J’aime
l’image du pianiste : il s’assoit et joue,
raconte son histoire, puis se lève et s’en va,
laissant la musique parler pour elle-même.
C’est au clavier que Clint Eastwood s’entretient
avec les pointures du genre : le regretté Ray
Charles, Dave Brubeck, Dr John, Pinetop Perkins, Jay Mc Shann,
Pete Jolly ou Marcia Ball. Le cinéaste et ses invités
évoquent les légendaires Nat King Cole, Fats Domino,
Duke Ellington ou Count Basie tandis que défilent à l’écran
les images et séquences d’archives. Un bonheur pour
tous les mélomanes !
Interactivité : 2/5
Outre le livret exclusif de 40 pages, rédigé par Gérard
Herzhaft, auteur de La Grande Encyclopédie du blues,
on apprécie le juke-box des 25 chansons du film.
Image et son : 5/5