Dossiers Noirs - Spécial Mémoire - N° 11
1848 : Abolition de l'esclavage
La traite et l'esclavage négriers
par
Godwin Tété

Dossiers Noirs


Ce Dossier noir est un dossier "spécial mémoire". Il saisit l'occasion du cent-cinquantenaire de l'abolition de l'esclavage pour éditer une étude précise et documentée sur la traite et l'esclavage négriers. Ce document est réalisé par Godwin Tété qui, en s'intéressant à l'histoire, n'a jamais déserté le combat du présent.

L'auteur
Têtê Godwin Tété-Adjalogo est né en 1928 au Dahomey, actuel Bénin, de parents togolais. Après des études à Lomé, à Paris et à Prague, il est pendant vingt mois administrateur civil de la fonction publique togolaise. Suite à un stage à l'Institut du Développement Economique de la Banque mondiale à Washington, il sera, durant vingt et un ans, fonctionnaire international des Nations Unies. Il a pris sa retraite en 1984. De 1991 à 1992, il a été membre du Haut Conseil de la République togolaise.

Pourquoi ces Dossiers noirs ?
Après le sommet franco-africain de Biarritz en 1994, une "coalition" composée d'une dizaine d'associations a décidé d'élaborer et de publier des dossiers précis et synthétiques sur la politique africaine de la France. Ces dossiers visaient à dénoncer notamment à travers l'actualité les dérives les plus scandaleuses de cette politique. Aujourd'hui, ce dossier n°11 permet de remonter plus avant dans l'histoire.

Agir ici est un réseau de citoyens spécialisé dans l'intervention auprès des décideurs politiques et économiques des pays du Nord en faveur de relations Nord/Sud plus justes.
Agir ici mène des campagnes d'opinion liées à l'actualité en collaboration avec d'autres associations françaises, européennes et internationales.

Survie est une association de citoyens qui intervient depuis 1983 auprès des responsables politiques français pour renforcer et rendre plus efficace la lutte contre l'extrême misére dans le monde.
Survie milite pour une rénovation du dispositif de coopération, un assainissement des relations franco-africaines, et une opposition ferme face à la banalisation des crimes contre l'humanité.